Nom de votre personnage: Meddows Hawes
Âge: 19 ans
Race: Humaine
Classe/métier: Chasseuse
Description physique: Une femme dans toute sa splendeur. Faisant office de fruit mûr prêt à cueillir, une tentation pour ceux qui ose y poser le regard. Les ongles de sa main gauches sont noirs et ceux de sa main droite vierges.
Description mentale: Dotée d'un pouvoir de persuasion hors du commun ancré dans sa chair, Meddows a toujours prit un malin plaisir à manipuler ses camarades. Elle n'a jamais fait partit du groupe homogène d'enfants, se tenant plutôt à l'écart, observant, calculant. Elle n'était pas la plus intelligente ni la plus stupide, elle était rusée. Elle avait vite apprit à discerner ce qui était bon a dire et ce qu'elle devait garder pour elle. Son coeur étant pour elle un deuxième appendice quoiqu'elle ne peut pas encore totalement le supprimer. Elle a un rire et un sourire plein de sous-entendus parfois alléchants tantôt cruels. Elle côtoies les gens tant qu'ils lui apportent une satisfaction personnelle, ayant plutôt tendance a les vider de leur énergie pour s'en sentir renforcée.
Elle a un sens critique excessivement développée. Elle peut être très superficielle sur certain point.
Et elle a cette manie de se parler à elle-même.
Histoire:
Plutôt froide à l'idée d'avoir un enfant, la mère de Meddows avait tout essayé pour tenter de se débarrasser du parasite qui vivait en elle. Malheureusement, Meddows restait fermement accrocher à la vie, et la mère finit par abandonné. Elle n'allait pas se tuer pour un fétus après tout. Donc, tandis que la vie qui s'épanouissait en elle la dégoûtait, la mère de Meddows - Jessica - buvait à s'en rendre malade. Son subconscient cherchant peut-être à vomir sa descendance. Elle accoucha sans grâce d'un bébé prématuré et faible. Pourtant elle se sentit incapable de tuer sa fille, la prennant comme seul support moral puisque le paternel l'avait laissé. Alors que Jessica passait ses jours à pleurer des larmes probablement alcoolisées, Meddows s'occupait de la maison, se promettant de ne jamais laissé ses émotions prendre le dessus comme elles avaient vaincues sa mère. Pourtant Meddows aimait sa mère, et elle s'en occupa jusqu'à ce qu'un jour, sa mère disparue. Meddows rentra dans la maison qui instantanement parraissait plus sombre, plus froide. Sa mère était partie mourir ailleurs, loin des yeux aimants de sa fille. À ce moment, Meddows avait déjà seize printemps. La seule chose qu'elle fit fut de déserter la maison. De toute façon, elle n'en pouvait plus de ce petit village où tous les gens papotaient et se glissaient les plus récents potins. Meddows n'y voyait pas l'intérêt. En fait elle ne voyait aucun intérêt à leurs vies minables. Après tout, pourquoi se construire un avenir qui portera ses fruits alors qu'on peut mourir à tout moment? C'était plutôt stupide. Meddows avait décidé d'en profiter. Tant qu'elle y sera.
Elle avait donc errée, vêtue de son honneur, et chercher occupation. Elle ne prenait pas un fou plaisir à tuer, elle le faisait seulement quand l'occasion se présentait. Elle aurait voulut être espionne, mais son visage et ce qu'elle dégageait ne s'oubliait pas.
Donc la moitié de sa vie passait à apprécier la vie et l'autre partie à oublier de souffrir. En fait, elle ne savait même pas pourquoi elle souffrait, elle avait juste besoin de souffrir. C'était stupide, mais ca lui donnait l'impression d'être normale.
Et puis, de toute facon, tout finit par vous retombez dessus. Qu'on tue une ou mille personnes c'est toujours la première qui cause problème. Parce qu'on est pas expérimenté. On ne sait pas ce que c'est de couper la vie - et toute ses descendances - d'un coup. D'une pulsion. Égoïste. Certain adore et s'y trouve une passion, moi j'avais besoin d'un but. Et attendre tapie dans l'ombre pour arracher la vie n'en était pas un. Pas satisfaisant. J'aurais pu être mercenaire, mais j'avais besoin d'haine. Tuer une personne pour quelqu'un c'est comme la tuer pour rien. Aucune satisfaction. J'avais besoin de sentiments, des miens, d'hair pour mieux jouir de leur suffocation. Alors qu'est-ce qu'il me restait? Il me restait à vivre comme je l'entendais, suivant ce que je me disais. Je tomberai bien sur quelqu'un comme moi, un jour. Au milieu de se bordel, de cette guerre.
Ne me dite pas que personne ne rêve du pouvoir absolut...
Dim 3 Fév 2008 - 14:29
