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 Duc Kalahorn du Soval

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Duc Kalahorn du Soval

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MessageSujet: Duc Kalahorn du Soval   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMar 29 Jan 2008 - 23:39

Ce que l'on sait sur Mark Kalahorn, homme de 57 ans.

Duc du Soval : Grand propriétaire froncier, conseiller du Roi, riche marchand.

Description physique: L'homme, d'une stature tout à fait anodine se démarque par la profondeur de son regard. Des cheveux bien peignés grissonant, malmenés par les années se déversent derrière son cou et ses épaules. Souvent recouvert d'un heaume d'acier nain, incrusté de formes dorés, reportant la bataille contre le Grand Soval, sans doute magique, au vu des immenses relations de l'homme et de son obsession pour sa sécurité. Un front ridé par l'usure et les raisonnements de la cour royale humaine, quoique d'intérieur Mark affiche une peau basanée des habitants du déserts au Sud... d'ou il est originaire. Des sourcils d'un noir portant sur le gris, brousailleux et épais, ils chapeautent bien ses fameux yeux. Un visage qui ne se recconaitrait pas parmis d'autres si ce n'était des yeux encore une fois. Pour ce qui est du reste du corp, aucune créature vivante ne peu se targuer d'avoir pu y jeter un oeil. Un couche de vêtement, une armure, et des habits dignes de la famille royale. Du cou aux pied en passant par les mains. Tout est recouvert et l'a toujours été. Son armure, ses bottes et ses gants, semblent toujours être les mêmes. Cependant, son hygiène n'en souffre pas car il répand à son passage une odeur d'encens envoutante. Fais à partir d'écailles noire de jais, des mortels crotals que l'on retrouvent au plus profonds des entrailles du déserts. Mais comme dit plus haut, ce sont ses yeux qui le distinguent de tout les autres. Pour ceux qui l'ont déjà vu, un tel regard ne s'oubliera plus, identifiable parmis tous...

Enfoncés dans leurs orbites fatigués par les âges, les yeux d'un vert émeraude jètent à tous ceux qui souffrent de croiser son regard, une sensation d'être nu. De se faire transpèrcer l'âme. Si les décades ont rendus l'éclat si anciennement lumineux de ses pupilles vitreux, la force de vision et la nervosité de ses nerfs et l'acuité de son jeune temps sont demeurés intacts. Les sourcils froncés, l'air mécontant en permanence, ses yeux enfoncés, vitreux si effreyant pouvant-ils être ne sont, que pour ceux qui le connaissent bien, que la visible surface de sa haine intérieure. Que seul l'éclat des flammes se reflètent palement dans le fond de ses orbites.

Description mentale: Agressif est le mot qui le décrit le mieux. Froid, hargneux et dominateur lorsque cet homme pose les yeux sur quelque chose qu'il veut et qu'il ne possède pas encore, rien ne l'empêchera de s'en emparer. Beaucoup de famille ont ainsi étés brisés lorsqu'une fille du foyer avait le malheur d'entrer dans le champ de vision du Duc. On raconte même que la future femme d'un comte important lui fût volé quelques jours avant son mariage par Kalahorn. Le Comte porta l'affaire devant le Roi, qui décida de porter un jugement à la prochaine lune pleine. La semaine même les têtes de la noble famille roulèrent pour disparaître. Leurs propriétés, titres, furent transféré sous l'égide du Duché du Soval. Froid, distant, calculateur, d'apparence calme, peu connaisent son couroux. Prenant lui-même l'épée à l'ocassion pour laisser se déverser le tsunami de sa fureur.

Une première rencontre avec cet homme sera déterminé par votre rang. Si vous ne jouer pas dans les hauts cercles des royaumes, il ne vous adressera jamais la parole, si ce n'est pour vous dire avec mépris que vous êtes dans son chemin. Si vous êtes dans les hauts cercles, il vous sondera quelques secondes avant de se présenter. Ensuite, tout dépendra de son évaluation. Si vous pouvez lui être d'une quelqu'onque utilité, il vous sera sympatique et même courtois. D'un savoir égal à son âge avancé, il peut s'entretenir sur tout sujet avec n'importe qui. Mais jamais il ne laissera sortir un commentaire sur lui, si ce n'est calculé.

Quoiqu'il en soit, toujours il portera son regard sur vous. Un regard à la profondeur abyssale, quiqu'onque essaie d'y trouver quelque chose par magie, y trouvera une insondable solitude. Un vide plus profond que le noir entre les étoiles lorsque le soleil en est à l'opposé.


Sa garde personnelle est faites des meilleurs soldats de sa terre natale du désert sudique. Choisis à la naissance, ils sont tous de débutans adeptes des sombres arts, acrobates émérites, grimpeurs d'excellence, fins limiers et épéistes remarquables. Le visage brulé et masqué en permanence, les paumes marqués au fer rouge, la langue coupée, le corps tatoué de symboles oubliés de force par les hauts cercles magiques signifient bien comment les Kalahorne fraient avec la plaie de ce monde. Ces hommes dont le nombre exact varient en fonction des humeurs de leur maître, se battent toujours un cimeterre acéré main droite, dague recourbée dont le côté intérieur est en dent de scie.
Duc Kalahorn du Soval Assasin2zv6


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Dernière édition par le Mar 5 Fév 2008 - 5:10, édité 4 fois
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MessageSujet: Registres Royaux - Kalahorn - Premier Parchemin   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMer 30 Jan 2008 - 1:39

Il y a un millier d'années, la famille Kalahorn, qui se présentait comme étant un "clan" parmi les humains, furent exilés. L'acte qui déclencha le système de caste parmi les humains. Le premier évènement du genre qui enflammera l'imaginaire des hommes d'alors. Jusqu'alors les humains restaient des barbares, combattant par la force du nombre et profitant de leur adaptabilité ils utilisaient ce qu'ils pouvaient, lançant toutes leurs forces dans les batailles, préférant perdre la majorité de leur force pour se partager le butin entre les survivants. Le plus fort des hommes dominait ses pairs etc. Ainsi, les proches du plus puissant homme avaient plus de privilèges, tant et aussi longtemps que ce dernier restait en place. Cette nuit là, les choses changèrent...

Une dure journée de labeur avait épuisé les fermiers et éleveurs qui rentraient des champs. Les bucherons ramenaient en tirant presque eux-mêmes les charrettes pleines de bois, si leurs ânes n'avaient pas été aussi têtus. Les artisans rangeaient leurs outils, préparant la table pour leurs enfants, qui salivaient déjà à l'odeur de la cuisine de leur mère. Les vendeurs finissaient de ramasser leurs bibelots et fermaient leurs échoppes. Les tavernes commençaient à s'emplir, et le bruit des forges était tranquillement remplacé par des rires éclatants à gras que la diversité du plus grand rassemblement d'humains au monde connu pouvait offrir. Seul les chasseurs n'étaient bizarrement pas rentré, mais étant donné les longues poursuites obligatoires dans ce genre de métiers et de la haine du chef local, un éleveur, qui n'aimait guère qu'ils élèvent des aigles et des faucons pour les aider à chasser, ils s'attaquaient souvent à son petit bétail sans que leur maître ne fassent quoi que ce soit pour les en empêcher. Les gardes de la ville refermèrent donc la porte. S'empressant de se mettre au garde à vous lorsque le Sergent d'inspection vînt faire sa ronde. Un peu sourd, la plupart des gardes présents se permettaient des commentaires haineux à son endroit sans vraiment s'en cacher. Il ne les entendait pas. Il essayait de garder sa salive qui s’échappait de ses lèvres à peine retenus par l'âge blanc de ses cheveux survivants. Mais son seul œil valide distinguait tout. C'est pourquoi il provoquait un tel stress parmi les fiers à bras qu'était les frères du forgeron. Tout les gros bras de la famille du chef faisaient régner les décisions de leur grand-frère à travers la ville naissante. Le sergent cet ancien héros déchu des combats contre les gnomes, LE héros qui avait protégé de ses mains Arkera de l'invasion des gnomes dans cette ville. C'était la seule raison pour laquelle le chef local lui laissait superviser ses frères tarés. Mais aujourd'hui il n'était plus que l'Ombre de lui même. Lorsqu'on lui dit que les chasseurs n'étaient pas rentrés ce soir, ce dernier congédia les consanguines engeances d'une famille de trop grandes et épaisses personnes pour laisser aller le titre de chef en quelques dizaines d'années. Le feu-héros monta en haut des murs et scruta l'obscurité naissante. La dernière fois qu'ils étaient arrivé après le couché de l'astre solaire, une bagarre avait éclaté entre les noirs chasseurs et la famille du géant forgeron. Les premiers humiliés avaient étés, depuis, maltraités par toute la bande dominante jusqu'au matin de cette dernière journée de règne par famille... Le Sergent lui s'en souvenait. Les chasseurs n'étaient pas sortis ce matin. Ils n'avaient pas quittés les murs de la ville. Toute la journée, il les avaient vu se promener dans leurs habits de chasse, couverts des pieds à la tête ne laissant à l'air libre que les yeux et un léger ovale autour d'eux. Armés de leurs arcs de chasse et de leurs épées permettant la découpe facile de leurs proies, ils s'étaient promenés en groupe de trois. Discrets, cachés dans l'ombre, ils épiaient... Ils attendaient quelque chose. Le Sergent s'en alla en clopinant à la porte du forgeron. La plus grande maison d'Arkera, la plus bruyante, du rire gras des hommes d'armes du patron aux cris des filles violentés par les besoins masculins de cette société barbare.

Le Forgeron en personne vînt à la rencontre du Héros. Riant de tout son saoul, il ne cessa pas cependant de déguster sa coupe de bière. Liquide qui semblait abondant en cette soirée. Quoiqu'il en soit, le vieillard lui fît part de ses soupons concernant les chasseurs. Toutes les familles faisaient leurs propres affaires, mais ces chasseurs s'étaient tous réunis aujourd'hui. Si personne ne s'en était rendu compte, lui les avaient vu. Les groupes de trois étaient tous constitué de trois familles. Jamais deux frères dans le même groupe. Quelque chose se passait! Le géant hôte éclata de rire et hurla aux autres de se rassembler pour bien écouter l'histoire farfelue de l'homme déchu. Après avoir entendu l'histoire entrecoupée des hurlements de rires, le chef dit au Sergent d'Arkera que tous les chasseurs avaient avoués aujourd'hui même que lui-même était le plus fort. Et que pour s'excuser, les "solitaires" l'avaient gratifié de toutes ces victuailles pour qu'ils puissent monter à toute la ville, leur richesse et leur puissance. L'ancien héros du se replier pour ne pas être écrasé par un gras homme qui s'effondra saoul. Malgré cet incident, tous retournèrent à la fête, riant de bon éclat de la figure confuse de la vieille légende qui s'en retourna vers sa taverne farfouillant les divers scénarios possibles.

C'est à ce moment que tout commença! Les cris des filles furent remplacés par les cris des hommes. Le premier homme tombé saoul laissait son sang sortir par sa bouche, écumant de la salive en bulle. Flèches et aigles fondirent du ciel, et s'en prirent à tout ce qui se trouvait dans l'enceinte de la villa. Alors que les premiers tombaient sous l'alcool empoisonné, les seconds virent avec horreur les premiers morts se relever, tirés par des filaments ombrageux vivants, noirs, comme des marionnettes dignes de la nécromancie. Puis l'enfer finit par s'ouvrir lorsque tous les hommes des familles de chasseurs s'engouffrèrent par les fenêtres de tous les étages pour mettre fin à la vie des êtres vivants. Bétail, élevage, enfants, filles comme garçons, hommes, femmes et vieillards, plante ...tout passa sous les lames courbés des personnes qui furent après connus comme étant le : Clan Kalahorn.

Les habitants d'Arkera se terrèrent chez eux. Sachant que c'était bien des humains qui s'en prenaient à d'autres, digne d'une énorme bagarre de taverne, entres malandrins éméchés, qui avait mal tourné. Un seul homme se redressa de sa chaise pour venir voir. Se précipitant à travers les désertes allées de cette ville, il se retrouva face à des chasseurs habillés de leurs tenues de chasse noire, épées au clair. L’homme compris ce qui se passait lorsqu’il vît un jeune garçon filer entre les jambes des deux chasseurs sensés empêcher quiquonque d’entrer. Ces derniers pointèrent le gamin et leur inséparable compagnon prédateur prirent leur envol pour aller s’attaquer à l’enfant. Aux hurlements de ce dernier, le seul homme qui s’était dressé s’enfuit. Cet homme, à la grandiose destinée se dirigea vers les portes de ses meilleurs amis, cognant et appelant à l’aide, il rallia inconsciemment tout les gens de bonne foi de cette ville pour aller défendre les peu nombreux innocents qui se faisaient massacrés dans la grande villa.

Le lendemain, la famille du forgeron avaient rendue sa dernière âme. Le Forgeron géant lui-même, retranché dans ses appartements, seul, ayant chassé comme une mendiante la femme qui partageait son lit ces temps-ci, s’était barricadé pour échapper au courroux vengeur des familles chasseresses. Aussitôt la mort advenue de leur bourreau, les chasseurs au complet, en unisson déposèrent les armes face à la force grandissante des hommes d’armes qui voulaient les empêcher d’apporter ce qu’ils considéraient être la justice. Liés, attachés, surveillés, ils furent conduits sur la grande place, ou l’homme qui avait mené toutes les autres familles voulaient que la ville entière décide du sort de ces personnes.

Pour la suite, lire sur le couronnement du premier Roi des humains. Et son premier édicta royal qui fût d’exiler le « Clan Halahorn » en dehors des plaines du territoires des humains jusqu’à son rachat.
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MessageSujet: Registres Royaux - Kalahorn - Deuxième Parchemin   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMer 30 Jan 2008 - 3:00

À l'an 0, lorsque la grande guerre débuta, et que tout les peuples durent s'unirent pour repousser ce qui était déterminé à mettre fin à toute vie, peu importe la race à laquelle les victimes pouvaient appartenir. Le Clan Kalahorn refît surface. Quittant les étendues désertiques aux premiers signes avant coureurs de l'apparition des Sovals, ils eurent la chance de filer avant la sortie de terre du sixième d'entre Eux. Voici comment un homme passe de chef-paria à Duc.

Concernant la Bataille du Premier des Sovals, consulter le parchemin qui y est destiné.

Le Clan des Kalahorn revînt à la tête des armées ayant vaincus le Premier des Sovals. Si l'armée était dans un piteux état, les soldas du Clan du désert eux, avançaient avec aisance. Les peu nombreux gardes ou plutôt les conscrits les moins en santé, resté derrières tandis que le gros de l'armée allait combattre, les gardes donc firent avertir le Roi et ses conseillers. C'était une véritable petite force militaire qui se dirigeait vers Arkera. Armes aux poings, armures au clair, puissants chevaux des oasis, arcs des bois rares que l'on trouvait en bordure des déserts, d'une maniabilité exceptionnelle, grosses machines gnomes, quelques nécromanciens bien en vue. Un homme trônait derrière cette formidable cohorte, devant les lambeaux de l'armée ... victorieuse? Quoiqu'il en soit, un messager royal parti à leur encontre et fût envoyé à cet homme sur cet étrange et immense fauteuil soulevé par des esclaves.

Il revînt rapidement, ne sachant s'il devait se réjouir ou être terrorisé. Car oui, l'histoire du Premier Roi des Humains se racontait encore. Il fût couronné le lendemain du premier grand massacre d'Arkera... perpétré par les trois familles chasseresses. Les mères de la capitale utilisaient encore cette histoire pour faire obéir leur enfant : "Vite fais cela ou je proposerai aux chasseurs de se racheter en te punissant.". Ce clan était maintenant une simple légende datant de mille ans. Mais le messager savait que c'étais eux. Musterial Kalahorn qu'il avait dit se nommé. Sultan des trois anciennes familles des chasseurs d'Arkera, le Clan Kalahorn.

Lorsque le Roi déplia le parchemin qui lui était destiné, scellé par la marque d'Exil royale, devenu depuis le temps le sceau du Clan Kalahorn. Le Roi en fît donc la lecture, repensant à la haine contenue dans le regard des troupes des déserts en regardant d'un œil envieux la capitale. Les yeux ronds, le souffle coupé, il laissa tomber la feuille jaunasse. Et réunit ses conseillers en une réunion d'urgence. En quelques minutes la décision sembla prise car le Roi fît ouvrir les portes et le Chef des sudistes débarqua de son fauteuil étrange et coupa la foule qu'était son armée pour rejoindre le Roi face à face. Le ton caractéristique vert émeraude d'une intensité solaire se léguait donc de génération en génération. [Le roi en fît la remarque à un proche, dans le livre royal qui se passait de père à fils, l'homme qui réunit les Chasseurs avait ces yeux aussi] Une fois que les deux hommes se furent jauger comme bon leurs semblaient, le Roi fît un brusque pas vers l'arrière levant son épée en même temps que Kalahorn sortait la sienne. L'atmosphère était à couper le souffle. Les deux camps, sans savoir ce qui se passait avait leu l'ordre exprès de n'agir qu'en cas de la mort de leur chef.

Musterial laissa sa lame tomber dans son autre main et s'agenouilla face au Roi et jura instantanément de le servir lui et son Royaume, du mieux qu'il le pouvait, jusqu'à donner sa vie. Et que son clan lui soit lié à travers ce pacte. Il s'ouvrit la paume grâce à l'épée courbée puis l'offrit en présent à son nouveau suzerain. Le Roi s'avança à nouveau et déposa sa propre lame dans le sang qui perlait, pour ensuite en tacher les deux épaules de l'homme agenouillé.

Ce fût ainsi que les terres ravagés par le Soval furent placés sous la supervision du nouvellement nommé d'un titre honorifique, Le Duc du Soval, protecteur à jamais de la royauté. Les soldats du clan rallièrent ensuite les forces armées conventionnelles, chacun s'échangeant ses connaissances. Mais toujours les membres du Kalahorn furent des soldats de l'ombre, ne se battant que par derrière, jamais de front, préférant les escalades de murs que les courses pour fuir. Si le pacte de sang rassurait les mages et les nobles connaisseurs de ce genre d'acte, le bas peuple ne fût pas aussi rassuré. Et depuis lors de nombreuses frictions existent entres bien des humains d'Arkera et les hommes du Duché du Soval, les sombres.
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MessageSujet: Histoire du leader du Clan Kalahorn, année 120 après la Gran   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMer 30 Jan 2008 - 11:48

Mark Kalahorn dit Le Sombre, Duc du Soval, protecteur à jamais de la couronne.
Hiver 62, le Clan Kalahorn descend toujours dans le désert pour échapper au froid qui les attaque au plus profond de leur être. Retournant dans leurs oasis ancestrales, ils renouent avec les racines de leur histoire. Au Sud, c'est la saison des crues, tout le froid du nord provoque en rafraîchissement des terrains désertiques, permettant la pluie. C'est à cette saison que le petit-petit-petit-fils du Grand Musterial Kalahorn, Faucheur du Premier Soval, naquit. Il fût prénommé "Mark" en raison du nom que donnait le peuple d'Arkera aux tatouages que les hommes du désert se faisaient. De simples "marques" comme ils disaient. Jhahirdrim voulait que son fils soit le symbole de tout ce qui est caché aux peuples des plaines. Ayant l'air d'un homme simple, son fils serait l'exemple de la haine des autrefois exilés...

Durant les trente jours que dura l'orage, comme à tout les héritiers du clan Kalahorn, les tatouages racontant l’histoire du clan furent déposés sur le corps du jeune bébé. Ce dernier cria, pleura, brailla, gigota, mais jamais ne perdit connaissance. Avec les marques venaient la haine du clan. La haine de ne toujours pas être à la hauteur, malgré leur serment de fidélité, malgré leur obéissance sans failles devant les plus basses tâches du royaume. La haine d'avoir été exilé pour avoir voulu assurer leur survie. La haine d'un peuple ayant appris de force à survive dans l'environnement dont personne ne voulait sur tout le continent mis à part quelques plantes et crotales dangereux. La haine d'une volonté de vengeance éternelle. Au travers la lumière sporadique prodiguée par les éclairs, de celle faible des chandelles, brulaient du feu consumant, les yeux historiques des hommes rejetés. D'un vert émeraude, semblable à la plus précieuse de toutes les pierres du désert, le regard du jeune enfant apprirent à faire vivre la haine qui venait de lui être transmise. À se servir de ses yeux comme porteur de la malédiction qui plane sur leur famille... qui ne verrait fin que lorsque l'épée de Damoclès s'abattrait. Peu importe quelle vie elle emporterait avec sa chute. Brûlant d'un feu dévorant, expulsé par la douleur interne d'un tel sentiment incontrôlable, cela se voulait l'expression de toutes les plaintes des personnes autrefois exterminés par eux, tous les membres du clan qui ne peuvent trouver repos malgré une vie dont ils ne doivent la condition qu'à leurs ancêtres. Cet enfant, était comme tous les autres qui portaient cette marque. L'enfant héritier ne vivait jusqu'à soixante ans, consumé par la malédiction que son corps véhiculait.

Éduqué comme tous les autres enfants du clan, il était le plus rudoyé durant les leçons. Cela était-il dû à la haine cachée que tout les hommes du désert avaient secrètement envers les Kalahorn, de les garder sous cette malédiction dévorante ou étais-ce parce que l'on s'attendait à ce le fils de Jhahirdrim soit plus fort de par ses responsabilité, ou même un mélange inconscient des deux? Quoiqu'il en soit, poussé aux limites du corps humain, tous les enfants durent supporter le rude climat désertique, y survivre, et y apprendre la culture de leur Clan. Puis ensuite c'étais l'entrainement sérieux qui commençait en ville. Historiquement, même si ils étaient exilés, cela ne les empêchait pas de venir semer la terreur en ville de temps en temps. La réputation des Assassins du Sud n'était plus à faire. Escalade, équilibre, saut, acrobaties, évasion, chasse, arc, épées, dagues subtiles, lancés, anatomie, psychologie etc. Tout y passait, et pour l'enfant hérité, au lieu des amis, des repas chaud et de la famille qui attendait chaque autre gamin, les cours débutaient sérieusement. Politique, diplomatie, commerce, et lois lui étaient imprégnés comme les mantes religieuses dévorent la tête de leurs mâles après l'accouplement, comme pour en absorber le souvenir. Ne bénéficiant d'aucun traitement de faveur, il était régulièrement fouetté pour manque de performance à ses nombreuses leçons... Comme tous ses ancêtres l'avaient été. Chaque année, au jour de sa naissance, les mages noirs du Clan se penchaient sur lui pour y engraver sur sa chair l'histoire. L'histoire maudite de sa famille y était ré-imprégnée pour toujours, même si l'encre magique était indélébile et recouvrait son corps des pieds au cou, ce geste était symbolique. L'on s'assurait de la loyauté sans faille du nouvel héritier. L'on s'assurait que LUI ne cède pas, sous l'accumulation des entrainements, des cours, des punitions et des échecs répétés dus à la sur-cadence du rythme. L'on le poussait à puiser dans cette haine hurlante pour survivre. Que l'espoir et tout autre sentiment n'étaient pas suffisants pour lui assurer sa survie. Inconsciemment, chacun des Kalahorn, en venait à ne plus rien ressentir que le vide, l'enfant qui était au plus profond d'eux, ne sachant plus à quoi s'accrocher devant la peur de tout, car c'est bien ce quoi on lui enseignait, de redouter tout et rien, en venait à se remettre à cette haine artificielle qui dormait au plus profond de lui. Le petit être enfermé quelque part au dedans de cet être droit, fort et stable, ne ressentait plus que la solitude de n'avoir connu autre amour que celui de sa mère durant les huit mois que durèrent sa gestation. Le nouvel homme cependant, était dès ses 6 ans, pareil à celui que l'on connait aujourd'hui. Cet être dédié à la vide vengeance historique que sa malédiction familiale assurait, ne soufflait d'aucune action superflue. Concentré vers un seul et même objectif, tout ses mouvements, actions pensées y étaient tournés.

A son investiture d'homme, lorsqu'on faisait combattre une hyène affamée un jeune homme arrivé à maturité. Le dernier à défier une hyène fût l'homme qui nous intéresse. Ce rituel, devait permettre de prouver à leurs parents que les enfants étaient maintenant capables de se débrouiller seul. Le trophée de chaque étais une femme qu'il pouvait choisir parmi toutes celles disponibles, car bien sûr, plus vite un enfant venait à bout de son adversaire, il gagnait priorité sur le choix... Même si le fils du Sultan avait le droit incontestable de choisir la première femme...s'il survivait à l'évaluation. Cette génération de jeune homme démontra un talent particulier pour le combat de face, si tous étaient aussi bon que leurs ancêtres dans l'ombre et pour toutes les actions qui étaient leur commun, ceux-ci avaient des aptitudes pour le combat face à face ce qui était plutôt rare. Le Sultan, interloqué demanda conseil à son nécromancien, celui-ci conseilla d'attendre le fils chéri de la communauté pour expliquer, ce qui arriva. Lorsque ce fût le tour de Mark, ce dernier se dressa droit sur ses pieds, une main tendue droit vers l'avant bien ouverte, comme l'on tend un appât, son autre se posa sur son dos, tremblante de nervosité face à l'occasion de gouter au sang encore une fois. Les Jambes droite comme e piquet central des tentes nomades, le corps légèrement arqué vers l'avant, un peu comme la courbure des dagues, mais si la courbure allait vers sa cible plutôt que vers l'arrière. Le responsable des bêtes malgré ses interrogations vis à vis cette position de combat laisse partir l’hyène en furie, excité par la première viande à portée depuis longtemps. L'animal sauta avec entrain, attrapant la main tendue entre ses tranchantes canines, elle écrasa le pauvre humain qui ne faisait pas le poids. Cependant, si l'odeur de l'humain exprima sans aucun doute la douleur, ce fût toujours une odeur de prédateur qui se distinguait le plus. Les yeux figés dans celui de la bête qui le recouvrait, Mark sorti sa main de derrière son dos pour agripper le poil et l'oreille sur le haut de la tête d'hyène. Cette dernière, forte de sa naturelle force essaya de se dégager en faisant voler le corps d'un bon coup de cou. Se contorsionnant, elle essaye d'envoyer valser le petit fils homme dans les airs. Mais la main broyée qu'elle avait dans sa gueule, au lieu de normalement lâcher prise sous la douleur, s'était refermé autour de la mâchoire inférieure aussi surement que la mort étreint les êtres vivants un jour ou l'autre. Ne sachant quoi faire, l’hyène fixa ce qui devait supposément être une proie pour elle... Grand mal lui en pris, car ce fût le déclic pour ce petit sac de chair, ce dernier n'avais pas détourné le regard de la tête de son adversaire. Ces yeux verts émeraude à la profondeur terrifiante hurlaient la rage de générations de victimes, victimes de la malédiction qui vouait à la haine les fils de ce clan. L'emprise des mains de l'homme se resserra et instantanément, les yeux toujours fixés sur le supposé prédateur, l'humain délivra à une vitesse digne de ses confrères, un coup de tête sur le fragile museau de la hyène, avec une force qu'on ne lui soupçonnait pas, n'ayant pas été capable aussi bien que les premiers Kalahorn d'enfermer le petit enfant en lui. Mais cette fois-ci, il semblait bien avoir fini par devenir un homme, car si les animaux ne pleurent pas, il est très facile de relié leurs grimaces à ceux qui expriment la douleur. La hyène souffrait, et ce affreusement, et seulement quelques secondes après le début du combat. Cette dernière essaya de reculer de dégager sa mâchoire de l'emprise humaine, mais il était aisément devinable qu'elle manquait de conviction sous l'intense douleur. Un second coup de tête sur le museau acheva de moucher tout espoir à l'animal qui pensait festoyer facilement, et même de survivre à une telle rencontre. Cette bête avait vu dans le regard que porta à nouveau sur elle cet homme dont des marques étranges apparaissaient là ou son gant s'était déchiré par ses propres intentions. Se redressant lentement, surpassant sa douleur, Mark défia la foule de le juger le visage crispé non pas par la douleur mais par la force de sa haine qui avait pris contrôle de son chétif corps. Reportant une dernière fois son regard maudit sur la figure ratatiné de l’hyène qui ne voulait plus maintenant que s'achève rapidement cette rencontre avec la damnation. Instinctivement, cet animal savait qu'elle n'était pas battue, elle n'avait pas échouée à battre ce petit humain, elle avait simplement été fauchée par ..."autre chose" mais assurément ce n'était pas vivant. L'on ne pouvait vivre et avoir ce regard de mort incrusté au plus profond de l'âme. Puis un pied embrouilla sa vision lorsqu'il se souleva pour une dernière fois s'abattre sur le museau causant la mort immédiate de la bête, proclamant le record du clan pour la mort d’hyène en termes de rapidité. Devenu un adulte, surement le plus performant de tous les hommes ayant marché dans cet arène, Mark regarda les femmes qui pouvaient lui être promises. Il en choisie une à vue de nez puis s'en fût soigner ses blessures. Peu lui importait la femme qu'il choisissait, de par son rang, il pourrait se permettre d'en avoir plein d'autres. Et il ne les choisirait pas pour les aimer, il les choisissait pour leur capacité à accepter la décharge du surplus de pression qu'il accumulait, cette pression née de sa hargne féroce du vivant qui détruisait peu à peu l'humanité qui subsistait au fond de lui.
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MessageSujet: Histoire du leader du Clan Kalahorn, année 120 après la Gran   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 5:10

PS : Les archives royales n'ont pas eu droit de retranscrire les archives de la période suivante du présent Duc du Soval. Comme il en est de même pour tout les précédants Duc du Sovals.

Voici ce qui est connu de cette partie de la vie des hommes du déserts :

Les enfants de chacune des trois tribu bédouine, après l'épreuve qui aura vu le temps d'être adulte arriver, doivent aller vivre dans une autre tribue. Toutes les lignées se mélangent, de sorte qu'il est impossible de voir si un enfant appartient à une ou l'autre des trois tribues. Ces échanges n'ont qu'un seul et unique but : Protéger l'héritier. Si tous ignore ou va l'enfant choisi, celui-ci n'as plus accès à ses cours, à ses amis, et surtout, n'as plus accès aux services qui lui étaient conférés de par son titre.

Cette étape dans le vie du futur Duc, lui permet d'apprendre les conditions de vie de son peuple. Il vivra au travers des familles qui ignoreront sa vraie identité. Durant plus de cinq ans, il apprendra à se débrouiller pour survivre seul, et à s'occuper de sa mie. Partageant avec son peuple, pas simplement la haine maudite qui le gruge peu à peu, mais aussi la solitiude, la peine et la misère d'un peuple qui vît loin de chez eux. Loin des plaines humaines.

Reprise de la biographie du Leader actuel du clan Kalahorn:

Pour le présent Duc, 13 moins avant son retour à sa tribue d'origine, son père, Jhahirdrim, Duc du Soval, défenseur à jamais de la Couronne, fût assasiné. De même, la rumeurs court que deux tentatives d'assasinat eurent lieux sur Mark, mais échouèrent. Depuis ce funeste jour pour le clan Kalahorn, parce que chacun des chef de clan depuis l'exil n'a jamais vécu que jusqu'à son soixantième anniversaire, s'éteignant tous à cette date fatidique pour eux, porteur d'une marque ancienne et corruptrice, qui n'a pas semblé s'être effacée avec le rachat du clan. Il semblerait que ce soit encore par le sang que le clan Kalahorn ne doivent passer une autre étape importante de leur histoire.

Un mois plus tard, en armure d'apparât, Mark Kalahorn fût proclamé Duc du Soval, acquiérant le titre de protecteur à jamais de la couronne, qui lui est relié. D'autres rumeurs disent que dans ce titre est contenue la protection personnelle du Roi contre les Kalahorn. Tant que le Roi ne leur abdiquerais pas cette simple phrase, les anciens chasseurs ne pourrais jamais lever la main sur lui. Depuis ce temps, le présent Duc est ce que l'on connais de lui jusqu'à ce jour : Un incroyable investisseur, qui ne recule devant rien pour augmenter son pouvoir. Soupsonnés de vols, de mensonges envers les plus hautes autorités, de traitrise au royaume, mais jamais envers la couronne, d'extorsions, de réseaux illégaux de prostitutions par enlèvements, pour ne nommer que ceux qui sont reconnus mais jamais officiellement car le leader des chasseurs, défend lui-même leur honneur devant le Roi. Le clan Kalahorn, une des plus nombreuse association humaine, semble bien portée sa réputation de mal aimé. Les soldats du clan, font avec toujours autant de zêle, les plus basses besognes d'Arkera. Comme le netoyage des tavernes, les assasinats, les enlèvements discrets etc.

Avec le temps, il aura presque doublé à lui seul, les possesssion du Duché. S'attaquant sans vergogne aux propriétés des autres nobles par la force de l'or. Jouant sans aucun doute de ses revenus illégaux, il acquiert tout ce qui peux lui permettre d'investir encore plus. Dernièrement, des délégations Gnomes et Elfiques qui seraient venus au palais séparément, plaidoient devant le Roi lui-même pour défendre leurs possessions ancestrales devant les avancements des marchands humains. Dont un parmis eux représentent tout ce qu'ils craignent : Le Duc du Soval. Qui s'intéresse dit-on au génie gnome, et à la magie elfique, en achetant des possessions près, ou dans leur territoire.

Mark Kalahorn semble suivre un but bien précis, cherchant à gauche et à droite, plus d'options. Pourquoi? Nul ne le sait, mais tous savent qu'ils craindront le jour ou il y arrivera
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Arkans

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MessageSujet: Re: Duc Kalahorn du Soval   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 8:50

super histoire ! \o/ j'adore... un peu longue mais tres belle Very Happy


cmb santa
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Swillan

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MessageSujet: Re: Duc Kalahorn du Soval   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 9:00

c'est bien que ça soit long! Surtout quand c'est bien écrit... ça rajoute des détails, et des figures de styles, et de la beauté au texte^^ bravo Very Happy
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Manuki
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MessageSujet: Re: Duc Kalahorn du Soval   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitimeMar 5 Fév 2008 - 18:24

Présentation acceptée. Enjoy! Wink
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MessageSujet: Re: Duc Kalahorn du Soval   Duc Kalahorn du Soval Icon_minitime

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