Un nouveau départ...

[HRP] Cracra => Quand Manuki et moi aurons changé le fait qu'on est en dedans, et qu'on sera bien dehors, tu pourras peut-être continuer? Parce que là ça serait comme à ton tour, on veut voir comment tu vas réagir... Au pire, fais un double post, ou continue à la fin de ton autre texte[/HRP]

Manuki: J'y comprend rien moi! Le pan de mur contient une porte?? Et ca débouche dehors???

Ne pensez pas que parce qu'il est sûr de lui-même, excessivement attirant, merveilleusement brillant, et surtout très modeste, Cranach n'est pas galant. Réagissant comme tout bon humain le ferait en pareil situation, c'est-à-dire lorsqu'on ouvre une porte de chêne supportant un lourd pan de pierre dans le front d'une jeune demoiselle à pas d'heure.

Se penchant précipitamment sur la jeune femme, il ne remarque les deux silhouettes trapues tapies dans l'ombre du mur adjaçant. Relevant de deux doigts le menton de la blessée, il l'interrogea alors qu'il oscultait rapidement la peau diaphane de son front :

- Que faites vous en ces sombres ruelles à pareille heure, pardi??

- .......

- Miss, regardez-moi, je vous le demande. Miss, est-ce que vous

Il cessa soudainement de parler. En relevant les soyeux cheveux blonds, il avait mis à découvert une coulisse de sang déjà séché. Où débutait l'estafilade, là ou normalement aurait dû se trouver une plaie, il n'y avait rien. Tout simplement rien, la peau était aussi lisse que celle d'un bébé elfe. Un bébé elfe. Un déclic se fit soudain dans son esprit. Il saisit fermement le poignet de celle qu'il devinait maintenant comme un membre de la communauté elfique et la remis sur pied brutalement. Les yeux azurs de la jeune femme s'allignaient maintenant, et elle semblait recouvrer ses esprits. Cranach ne s'en préoccupa pas, trop occupé à sortir le plus rapidement possible cette jeune intruse de la ville avant qu'on la lynche. Il n'aurait sû expliquer quelle était cette émotion, mais il avait eu un réel choc lorsqu'il avait découvert la réelle identité de cette resplendissante demoiselle, et tout son être lui criait qu'il devait l'aider à fuir le plus rapidement possible cette ville peuplée de xénophobes au cerveau ramollit par la cervoise. La dernière chose que Cranach voulait, c'était de voir l'elfe emprisonnée, torturée, violée et probablement tuée violemment par les gêoliers et gardes de la cité.

Presque arrivé à l'intersection de la rue connexe, il approcha l'elfe de lui pour tenter de la dissimuler sous un pan de sa cape quand un grand bruit se résonna dans la ruelle qu'il s'apprêtait à quitter.

Arkans sortait tranquillement de sa cellule. Il sortit sa tête chevelue en premier, regardant de chaque coté comme si un bac d’organe allait lui tomber sur la tête. L’elfe et l’humanoïde vert était déjà sortit par la porte ou ils se trouvaient quelques secondes avant. Marchant sur les tuiles froides du placer, le jeune nain marcha d’un pas rapide pour rejoindre les autres. Quelque mètre avant d’atteindre le palier de la porte, Arkans entendait déjà des coups d’épée coupant dans de la chaire fraiche. Il ouvrit la porte lentement. Il fallait être prudent car même la porte fermer, le nez sentais déjà l’odeur désagréable du sang et de la mort. Une fois la porte complètement ouverte, Le jeune nain vit une cène assez rigolote. De l’autre coté de la pièce on voyait le petit gnome tenant une épée qui devait avoir facilement une tête de plus que lui et pourtant même avec la légèreté de l’arme, le petit être avait tout de même de la difficulté a la porter et de garder son équilibre. Si ce truc vert continuait de porter cette arme comme il le ferait, il finirait par couper la tête de l’elfe ou pire … La sienne ! Heureusement le gnome ne garda pas l’arme et la laissa tombé devant lui. En regardant l’arme tombé, il vit juste en arrière plan tout son équipement place dans un tas au coin de la pièce. Il se dépêcha d’aller les chercher. Mettant protège genou a épaulette, Arkans remit toute son armure noir et jaune. Finalement il prit sa masse. Il la serra fort entre ses mains ressentant la puissance de cette arme il avait déjà reprit courage.

Du coin de l’œil, Arkans vie le gnome en train de sorti avec l’elfe sur ses talon mais étrangement une parti du mure trembla un peu. Arkans cru au premier coup d’œil que son imagination lui jouait des tours. Le manque d’eau et sa faim le faisait peu être halluciner. Puis avec un force incroyable, cette même parti du mur s’arracha du reste de ses confrères volant directement vers la jeune blonde qui surprise, la ressues en plein visage! Arkans ne sursauta même pas en voyant que la partie du mur détaché était en faite une porte. Surement un des nombreux passages secret de cette ville. Il se demandait plutôt : qui a-t-il bien pus ouvrir cette porte ? Et bien vite, un homme a la forte carrure sortit de l’hombre en avançant vers l’elfe qui maintenant étais inconsciente au sol, la main sur sa tête. De l’autre coté de la pièce le gnome n’avait même pas prêté attention au nouvel arrivant. Peut être qu’il le connaissait et que celui-ci venait pour les aider ou bien le petit gnome était encore trop occuper à inventer une nouvelle façon de vomir sur un garde. Cette petite pensé fit sourire le jeune nains qui ce dirigea vers son libérateur. Le nouvelle arrivant c’était penché au dessus de la jeune blonde murmurant des mot faible et incompréhensible au nain ( XD !!! VIVE LES SOURDS !!!! ).L’humain en question avait relevé l’elfe et l’avait mit sur pied d’une façon brusque et pressé. Puis sans dire un mot il était partit. Comme ça sans rien dire. Comme si le nain et le gnome n’existait pas. Le jeune nain fut vite prit dans un dilemne qui ne croyait pas être possible.


Devait-t-il poursuivre l’homme qui avait «kidnappée» la jeune femme parce qu’il avait promit des LES aider et de les protéger ou bien de rester avec ce gnome qui lui avait redonnera liberté et dont il avait une dette envers lui … A ce moment la, le jeune nain aurais tellement voulu pouvoir se séparé en deux.

Manuki, observant toute la scène les yeux écarquillés commençait à se demander s'il n'était pas mieux de décamper des parages avant que tous ces gens hétéroclites ne lui causent plus de problèmes. Voilà qu'un grand homme à la forte carrure était sorti de ce trou dans le mur et avait pris les choses en main. Comment ça pris les choses en main?! C'était Manuki le chef, et personne d'autre! Pour qui se prenait-il à secourir l'elfe, et à l'entrainer dans des ruelles sombres? Manuki remarquait que l'ambiance étaient très lugubre à l'extérieur. Un silence pesant régnait sur la rue, et l'obscurité était presque palpable. Après sa petite démonstration de force dans la prison, il espérait ne plus avoir affaire à des gardes, car il était épuisé. Il regarda l'homme entrainer l'elfe jusqu'à une intersection. À propos de l'elfe, il réalisa qu'il ne savait toujours pas son nom, ni celui du nain. Il était le seul à s'être identifié, et seulement auprès de la blonde. Quel manque de politesse ils avaient. Tout comme cet homme, qui ne s'était pas présenté, et n'avait pas fait part de ses intentions. Il était juste sorti de nul part tout en assommant l'elfe avec un mur, et voilà qu'il décidait de les entrainer avec lui. Regardant à côté de lui, il vit que le nain hésitait. Pauvre bête. Incapable de prendre des décisions toute seule. D'un ton brutal, Manuki l'invita à le suivre.

-Aller, viens le nain.

Il s'engagea à la poursuite de l'homme et de l'elfe. Il dépassa un chien galeux, un tas de poubelles en acier et finalement, arriva tout près des deux. Soudain, le nouvel arrivant entreprit de.. de faire entrer l'elfe dans sa cape? Alors ca! Ils venaient de se rencontrer et déjà ils tentaient d'entrer à deux dans les vêtements d'un seul? Cet homme était rapide en affaires. Quoiqu'il en soit, Manuki n'eut pas le temps de réfléchir, car un effroyable bruit de feraille résonna derrière lui. Le gnome n'aurait su dire si le nain était tombé dans les poubelles ou s'il avait simplement botté le chien dedans. Ou alors c'était un apprenti magicien un peu fou qui s'était téléporté à quelques kilomètres au dessus du sol... Il ne se retourna pas, trop méprisant envers cet imbécile qui tentait de réveiller la caserne au complet. Il interpella plutôt l'homme.

-Hé toi! Calme toi un peu! On peut savoir pour qui tu te prends, à débarquer comme ça, assommer les gens avec des murs et à nous voler notre elf.. à kidnapper cette fille? Et si tu nous disais plutôt d'où tu sors et qui tu es? Moi je te trouve plutôt louche..

Il avait dit tout ça sur un ton cruel et agressif, comme s'il savait déjà que cet homme leur voulait du mal. Le chien galeux passa à côté de lui, rappelant à Manuki l'événement précédent. Lentement, il se retourna pour voir si le nain n'était pas coincé dans une poubelle, car le bruit se répétait.

[HRP] Je laisse Swillan (Prochaine posteuse) décider de l'origine du fameux bruit.. Désolé pour la longueur aussi. J'suis pas trop inspiré, il est deux heures du matin et je crois que j'ai encore deux posts à écrire cette nuit. [/HRP]

Décidément, on n'avait jamais le temps de se reposer dans cette fichue ville! À peine sortie de prison, voilà qu'on l'assomait. Avant même qu,elle ait pu reprendre ses esprits, on l'emmenait au loin, loin de ses compagnons! L'Homme qui la guidait avec l'air de se foutre comme d'une guigne de Manuki et du nain... dont elle ne connaissait toujours pas le nom. C'est ce qui arrive quand on n'a pas 5 minutes pour parler! En attendant, voilà que l'humain tentait de la dissimuler sous sa cape...
Quel manque de jugement! Elle n'avait pas la carrure d'un enfant, quand même! Les gens remarqueraient probablement plus un étrange bossu voulant constamment garder les pans de sa capeprès de lui qu'un homme et une femme se promenant la nuit... Mais le problème de ses oreilles persistait, maintenant qu'elle n'avait plus de bandeau...

CRASH! Comme l'étrange duo qu'ils composaient s'apprêtait à sortir d'une ruelle à l'aspect particulièrement repoussant, un énorme brouhaha en sortit... Se retournant vivement, elle s'aperçu que Manuki les avait suivi de près, ainsi... ainsi que le nain, à présent menacé au couteau par un ivrogne qui le prenait probablement pour un de ses rêves éthiliques...

Pour lui venir en aide, il fallait d'abord qu'elle réussisse à convaincre son étrange sauveur de ralentir sa course et de porter secours au pauvre nain...

- Euh... monsieur! dit-elle en se tournant vers lui. J'apprécie énormément votre implication dans ma sécurité personelle mais euh... mon ami a l'air en danger, certes l'ivrogne est bien trop soûl pour bien lui trancher la gorge mais... j'aimerais bien que lui et le gnome que vous voyiez là reste avec nous...

Elle avait parlé étonnament vite, dans l'urgence, et espéra que l'humain avait compris. Sans prendre le temps de s'en assurer, elle s'approcha du nain et de détenteur du couteau et tenta d'amadouer ce dernier...

- Salut, bel homme... quel belle arme tu as là!
- Cha? chest mon couteau... lui répondit-il, tout fier de pouvoir même lui donner...
- Merci beaucoup, mon ami...

Elle lui frôla l'épaule et voilà qu'il retombait par terre, plongé dans ses rêves.

- Nous voilà maintenant armés. Dit-elle aux autres. Puis, s'adressant plus particulièrement à l'impoasnt personnage qui avait l'air alarmé (avec raison, le boucan avait dû attirer plusieurs gardes... Il fallait faire vite!): je vous suis maintenant... je n'en sais rien pour les deux autres mais puisqu'ils nous ont suivis jusqu'ici...

Et voilà qu'ils reprenaient leur course dans les sombres dédales de la ville. Au loin, ils entendaient des grincements, des claquements et des exclamations qui ne laissaient aucun doute sur la recherche que les gardes devaient présentement mener. Courant avec difficulté car l'inconnu lui tenait toujours le bras et tentait sans grand succès de la cacher (alors que bon, il lui semblait tout de même que le gnome et le nain était plus reconnaissables...), Swillan commençait à se fatiguer. Ses pieds meurtris continuaient pourtant de heurter les pierres à intervalle régulier. Son souffle, par contre, devenait de moins en moins profond et un métronome aurait eu énormément de difficulté à le suivre. L'elfe s'efforçait néanmoins d'oublier ces désagréments et de se concentrer sur sa survie, ce qui lui semblait pour le moment un objectif acceptable.

Peu à peu, les façades des bâtiments autour d'elle devinrent flous, et son univers se résuma à une espèce de tunnel qu'elle devait traverser pour arriver à son salut. Sa respiration reprit du poil de la bête et elle oublia le contact de ses talons sur le sol. Elle allait y arriver, elle en était certaine. Elle en avait même oublié ses compagnons qui, un lourdement armé, et tous deux petits, devaient éprouver beaucoup de difficulté à les suivre. L'elfe en était à un point où plus rien n'est vraiment réel, ou le corps frôle l'autre monde. Pendant un moment, elle entraperçut la réalité telle qu'elle devait l'être dans la ville il y a quelques centaines d'années. Des formes se promenaient en plein jour, fantômatiques mais pleines de grâce. Leurs habits, leur coiffure, leurs maisons et commerces étaient différents, et l'elfe était omnubilée par une telle découverte. Elle n'aurait aucun souvenir de tout cela plus tard, et elle entendit soudain un hurlement inhumain, qui comme de raison n'avait pas vraiment lieu, qui la fit se cabrer et s'arrêter brusquement. L'Homme qui l'accompagnait fut emporté par son élan, lâcha son bras... et alla s'embrocher dans la lance d'un garde qui arrivait par une rue connexe.

Brusque retour à la réalité.

L'esprit confu, Swillan se sentait un peu nauséeuse mais eu le calme nécéssaire pour se tapir dans l'ombre pendant que le soldat, étonné, regardait alternativement son arme et la chose innattendue qui se trouvait à son extrémité. Chose qui d'ailleurs se convulsait atrocement et le tachait de sang. La lance se retira de son abdomen après un bref effort de la part de son propriétaire, et la chose s'écroula avec un dernier spasme, et un gargouillement que Swillan aurait du mal à se sortir de l'esprit pour les prochaines années.

Pendant que le meurtrier tout excité d'avoir pu stopper un des suspects probablement recherchés, alors que lui-même s'enfuyait pour se réfugier dans une taverne, criait à ses collègues de s'emmener, l'elfe tentait de se remmémorer ce qu'il s'était passé, pourquoi elle ne s'était plus trouvé aux côtés de l'autre quand.... cela s'était produit... mais elle n'y arrivait pas. Il lui semblait que quelqu'un l'avait prévenue... mais c'était impossible, il n'y avait personne aux environs à part ... eux trois...

Elle se traina quelques mètre plus loin, dans une ruelle sombre. Elle ne se soucia pas de la saleté du sol, du danger qu'elle courrait en s'exposant au regard des mendiants qui devaient se trouver là aussi. Elle ne pensa à rien du tout, car elle savait que si elle commençait à réfléchir sa situation d'elfe seule, ses compagnons probablement perdus et le drame qui venait de se produire la frapperaient de plein fouet et qu'elle ne pourrait se retenir de se laisser aller à son chagrin et sa peur et de crier, peurer, jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse. L'esprit le plus vide possible, elle s'appuya sur une poubelle et s'endormit instantannément, les évènements de la journées hantant ses rêves.

Elle n'entendit pas les cris de colère du supérieur du garde quand on se rendit compte que l'assassiné n'était autre que Cranach.

L’inexplicable venais de ce produire. Le jeune nain, solidement armé de sa masse qui devait peser plus lourd que le gnome qui aimait vomir sur les gardes et de tout l’équipement qui portais depuis le départ de chez lui, venait tous juste d’être prit en otage par un ivrogne qui ne tenais même plus sur ses deux jambe, endormie par l’alcool, avec un petit couteau surement aussi coupant qu’un bout de bois. Pourtant, quelque seconde avant ça, Arkans avait botté un petit chat noir qui ce frottais a sa jambe gauche l’envoyant volé sur des poubelles non loin de lui. Résultat, l’elfe ce retourne vivement et surprit le nain dans une position qui était fort humiliante où l’ivrogne avait placé un couteau mal entretenue sous sa gorge à l’ instant même de la collision entre le chat et l’amas d’ordure.

Arkans mit instantanément la main sur son arme prés à écraser cette pourriture qui dégageais une forte odeur d’alcool et d’une odeur qui prouvait un manque flagrant d’hygiène personnel. Mais au même moment, la jeune blonde à moitié sonné par le coup reçu antérieurement sur la tête était déjà la … séduisant l’ivrogne ?!

"Pour qui elle ce prend pour venir me sauver ?! " ce dit le nain le joue rouge de colère, humilié.

C’est alors que finalement l’ivrogne lui donna son couteau qui ne serait même pas capable de couper du beurre et s’écroule … endormie ?! Ah la c'est la goutte d'eau qui a mis le feu aux poudres ! Une elfe, descendante d’une race qui se crois supérieure au autre (après les gnomes qui eu ce la pète vraiment trop … ), venait de sauvé un nain descendant d’une race guerrier et fier spécialisé dans les combats corps à corps d’un soulons... Arkans allait commencer à lui crier dessus mais fut vite interrompue par cette elfe qui tenant le petit couteau sans valeur déclara toute fière avec le sourire jusqu’aux oreilles:

-Nous voilà maintenant armés.

Puis elle tourna sur un talon et alla rejoindre … le kidnappeur … pas Manuki ou même lui !

"Mais quelle cruche celle la !" ce dit Arkans la bouche grande ouverte par la surprise. Un, elle allait rejoindre l’homme qui l’avait assommé avec un mur et qui était parti avec elle sans rien dire ni même se soucier des personnes autour de lui. Et de deux … comment ça enfin armés ?! Il portait quoi depuis tout ce temps ? Cette armure gris et jaune elle était la que pour faire jolie ? Et sa masse … un bout de bois inoffensif ? Il n’arrivait toujours pas à croire que cette elfe ai dit quelque chose d’aussi stupide.

Puis tout d'un coups, elle et l’inconnue repartir à courir. Laissant encore un fois ses anciens compagnons à l’arrière. Finalement Arkans ce retourna vers le petit être verdâtre et lui dit d’une voix autoritaire :

-Aux pieds gnome ! On va pas encore laisser cet inconnu qui balance des murs sur des femmes nous voler encore un fois notre elfe sous notre nez.

Puis il commença à courir après le duo qui avait déjà pris de l’avance sur lui et le gnome. Après quelque coin de rue, Arkans s’aperçu que le jeune blonde à quelque mètre devant lui commençais à perdre l’équilibre quand elle courait. Même appuyer après l’homme à ses coté, le jeune nain voyait très bien qu’elle ne durerait pas encore longtemps.

C’est alors, sortie de nul pars, un homme de petite taille pour sa race et au nez proportionnellement difforme comparé au reste du visage venait d’empaler l’inconnu avec la lance qui tenais fermement. L’arme avait complètement transpercé la victime laissant ressortir seulement la petite pointe métallique et une faible explosion de sang venant taché de plusieurs goutes les habits de l’elfe à moitié consciente. De loin Arkans, même avec la distance, la voyait perdu, déboussolé … abandonné. C’est alors qu’elle ce mit à reculer. Lentement et surement, elle ce laissa tomber au coté de poubelle. Inconsciente se demanda le nain intrigué et essoufflé par la course folle qui venait de se produire.

Arkans se rapprocha d’elle un pas à la fois pour ne pas attiré l’attention de la garde non loin de la. Cette même garde avait l’air préoccupé par la mort de l’inconnu.

"Mais ils sont fou ses humains ?! Ils se font la guerre, s’entretuant par millier et voila qu’ils sont agité par la mort d’un homme totalement inconnue dans une ruelle tué par un garde surement pour une bonne raison" se dit Arkans en hochant la tête désespéré pour cette race infecte.

Finalement Arkans se retourna pour voir l’elfe étendu au sol et se pencha pour voir si elle était morte. Heureusement le jeune nain vit très vite qu’elle dormait quand il entendit un long souffle sortir de la bouche de la blonde. Alors, Arkans posa sa main sur son épaule gauche et la secoua rapidement pour la réveiller.

-Hey ! C’est pas l’heur de dormir elfe. Réveille-toi. On n’a pas tous notre temps. Une fois que ces vermines humaines en auront fini avec l’inconnu qu’ils on tuer ils vont se remettre à la poursuite des fugitifs et du gnome qui fait exploser les gardes avec ces pouvoir de nawak. Dit le nain à voie basse tout en continuant de secoué l’elfe endormie.

Voyant que la jeune elfe ne se réveillait pas malgré ces effort, Arkans la souleva, la plaça sur son dos et parti se réfugier plus loin. Le jour allait bientôt se lever rendant la fuite encore plus dure. Il fallait faire vite !

Quand finalement Arkans trouva une petite maison ravagé par le feu, il s’y cacha voyant que celle-ci avait l’air abandonné. La petite maison n’avait que deux pièce. La pièce principale et une pièce à pars surement une chambre avant que les flammes ravagent tout. Le jeune nain décida de laisser l’elfe ce reposé dans le vestige d’une chambre pendant que lui et le gnome planifierais une façon de partir de cette ville. Quand il se retourna pour parler avec le gnome, il ne le vit nul pars !

-Mais ou est passé ce foutu gnome. Grogna le nain dans sa barbe.

En y repensant, Arkans ne se rappelait plus si le gnome les avait suivis… Était-il resté a la même place où Arkans lui avait ordonné de le suivre, l’avait-il sommé ou bien pire encore … Encore pris dans un pétrin quelconque où lui et l’elfe devront le délivré…

HRP ... Mon plus long texte rp a vie HRP

[Bj ]

Lorsque Manuki se retourna, il éclata de rire. Un rire petit et presque inaudible, mais un rire joyeux et sincère. La vision qui s'offrait à lui était pour le moins totalement hilarante. Ce nain en armure, lourdement armé, tenu en respect par un ivrogne armé de quelque chose comme un bout de métal rouillé... Manuki était réellement amusé. Et voilà que la petite elfe blonde allait l'aider, c'était le comble! Comme le petit être devait bouillir de honte! L'ivrogne était un petit vieux tout tremblant qui devait à peine être conscient de ce qu'il faisait, et pourtant son couteau était dangereusement accoté à la carotide du nain. L'elfe s'approcha de lui jusqu'à être tout près. Évidemment, un homme dans cet état ne pouvait pas résister aux charmes d'une elfe, blonde qui plus est. Manuki doutait même qu'il put y résister sobre. Il fallut peu de temps pour que l'elfe ait le couteau en main, et le gnome remarqua les éclairs dans les yeux du nain, ce qui ne faisait qu'amplifier son hilarité. Mais le meilleur restait encore à venir. Alors que le saoûlon s'affaissait comme une masse sur le sol, l'elfe sortit son coup final, dont Manuki se souviendrait longtemps. Le grand sourire héroïque, l'air triomphant.

-Nous voilà maintenant armés!

C'en fut trop. Le sorcier se plia en deux et explosa de rire. Les "Hahaha" résonnèrent bruyamment dans la ruelles alors que le gnome s'esclaffait sans pouvoir s'arrêter. Comme ce devait être terrible pour le nain. Manuki reconnaissait que ses soit-disants pouvoirs de nawak puissent ne pas être considérés comme une arme, mais la masse était immanquable, elle. Les larmes aux yeux, le gnome se redressa avant pour entendre la commande du nain. Pauvre petit, il essayait de ne pas perdre la face, c'était compréhensible. Mais Manuki n'allait pas obéir, il ne le pouvait pas. S'il obéissait à cet ordre, sa réputation, que lui seul connaissait, était à l'eau. Il ne bougea donc pas d'un poil lorsque que l'être tout aussi petit que lui passa à son côté pour suivre la blondinette de l'équipe. Manuki réfléchis un instant. Il en avait assez vu pour cette nuit, il ne voulait pas risquer de finir empalé. Ses compagnons s'arrangeraient bien sans lui. Il se concentra donc un instant dans le but de se téléporter hors de la ville. L'opération n'était pas compliquée. Il y eut un flash bleu dans la ruelle, et plus de gnome.

Il reprit forme une fraction de seconde après. Le contact dur de la pierre sous ses pieds était déconcertant pour Manuki qui s'attendait à sentir de l'herbe ou de la terre à la limite. Il ouvrit les yeux et se tourna rapidement pour repérer sa location. Dans le mouvement, le gnome se péta le front contre le manche d'une hallebarde. Reculant d'un pas, il rebondit contre un plastron de fer. Une douzaine de gardes l'entouraient dans ce qui semblait être le hall de bâtiment d'administration. Sa prestation en prison l'avait épuisé, et dans ces circonstances, il n'arrivait jamais à se téléporter que sur de courtes distances.

-Ah quelle merde! prit-il le temps de dire à ses interlocuteurs stupéfaits dont la machoire inférieure touchait presque le sol.

Il se téléporta une deuxième fois avant d'être embroché. Cette fois, il choisit sa destination à peu près, et se retrouva dans une nouvelle ruelle sombre et humide. Un homme en armure, tenant une hallebarde lui tournait le dos un peu plus loin. Il fallait réagir vite avant qu'il ne se rende compte de la présence du gnome. Manuki leva une main et une poubelle à côté du soldat lévita à deux centimètres du sol. La masse de ferraille vide sauta brusquement sur la tête de l'homme et l'engloutit, alors qu'une demi-douzaine d'autres poubelles de métal étaient propulsées contre l'homme à plusieurs reprises. Les chocs étaient violents, il n'en fallut pas beaucoup pour que l'homme soit au sol, pris de convulsions grotesques. Ses bras et l'une de ses jambes étaient cassés, et l'état du reste était déplorable. Manuki jugea que c'était assez et reprit son chemin. Il sentait la présence du nain, pas très loin, et celle de l'elfe, plus faible. Il prit la direction des deux personnes et arriva sans encombres à la petite maison calcinée. Le toît était très endommagé mais les murs tenaient encore debout. Manuki entra et vit le nain debout, près de l'elfe couchée sur le sol.. endormie? Au moins était-elle toujours habillée, ce qui voulait dire que le gnome était arrivé à temps pour empêcher le nain de satisfaire son instinct de bête poilue. Il s'approcha du nain, l'elfe n'étant pas en état de participer à cette réunion.

-Bon écoute, commença-t-il d'un ton impatient, considérant que je peux mettre facilement pas mal de gardes à terre, à la limite, un ou deux seulement à coups de vomit, et que tu en terrasses assez toi aussi, je propose de dégager en force. J'en ai marre de courir, on gardera l'elfe derrière nous si elle ne peux pas se battre, et on passera au milieu de l'armée royale s'il le faut.

Il jeta un regard au couteau rouillé près de l'elfe endormie.

-En plus, on est armés maintenant, ajouta-il avec un grand sourire, expression faciale qu'il découvrait aujourd'hui même.

Entendant la voix de Manuki, Swillan se réveilla, enfin, si on accepte de dire qu'elle dormait. En fait, elle s'était plutôt retrouvée dans un état catatonique depuis... l'incident, état qui lui avait permis de ne pas perdre son calme. Ce n'était vraiment pas le moment!

À présent, elle allait un peu mieux, surtout depuis que celui qu'elle considérait comme le plus responsable de ses deux compagnons était arrivé. D'ailleurs, il reprenait les choses en main en proposant qu'ils partent et quittent la ville. L'elfe en conclut donc que l'endroit où ils se trouvaient était dans, ou très proche de la ville. Peut-être même les gardes étaient-ils sur leur piste au moment présent.

Mais alors, s'il était pressé, pourquoi cette sorte de... blague de la part du gnome? Le simple fait qu'il ait sourit surpris Swillan, car il avait, depuis qu'elle le connaissait, une attitude assez sobre, un peu sinistre à la limite.
Elle se rendit alors compte qu'il répétait ses paroles de la veille, quand elle avait pris son couteau à l'ivrogne. En vérité, elle avait plutôt voulu parler pour elle-même et l'Homme l'accompagnant, étant donné qu'elle ne savait pas si les deux autres voulaient les suivre et rester avec eux. De plus, elle n'avait pas vraiment assimilé le fait que le nain avait repris ses armes dans la prison. Les év;enements s'étaient succédés vraiment trop rapidement.

De toutes façons, à quoi bon leur dire tout cela? Cela ne ferait rien avancer dans leur affaire, et puis, Manuki avait l'air de se payer du bon temps. Autant relâcher un peu la pression.

Elle ne se redressa pas tout de suite, restant là à sentir le nain ressasser ses pensées. Il allait sûrement accepter de se battre, alors elle participerait aussi. Elle n'avait aucune envie de représenter le «sexe faible» en restant derrière et en leur laissant faire tout le boulot! En plus, il fallait bien qu'elle venge ceux qui avaient tué le seul être qui voulait les aider...

L'elfe, s'appuyant sur ses coudes pour ne pas se relever trop vite et risquer de perdre l'équilibre (elle était encore très fatiguée et troublée), s'empara du couteau à ses côtés et se prépara à déclarer qu'elle voudrait bien combattre quand elle se rendit compte que l'arme qu'elle était si fière d'avoir dénichée la veille était en fait un vieux couteau à pain rouillé.

Au lieu d'annoncer clairement et autoritairement son désir de s'en aller rapido presto, la jeune femme dû se résoudre à lancer un faible:

- Je serais partante... Si quelqu'un voulait bien me passer une arme... Parce que je doute que mon arc soit utile dans une mêlée... et que finalement, je n'ai pas vraiment de couteau...